Lars Strandh a eu l’honneur d’avoir un bel article dans le journal DNA. Pour une lecture plus facile, voici ci-dessous une retranscription :

Strandh le coloré

 » L’artiste suédois Lars Strandh est à l’affiche de Radial. Et poursuit une vraie carrière internationale. C’EST À NEW YORK, il y a quelques années, que Frédéric Croizer, qui n’avait pas encore ouvert Radial Art Contemporain, découvre le travail de Strandh. « Je m’étais dit que si je devais créer une galerie, c’était ce type de travail que je voulais montrer », explique-t-il aujourd’hui. Une fois le Rubicon franchi, il se mit en chasse de l’artiste suédois, installé en Norvège. Et parvint à le convaincre de travailler avec lui. En 2011, il lui consacrait sa première exposition. Depuis, les choses se passent plutôt bien pour l’artiste, entré dans la prestigieuse collection Telenor (« L’équivalent d’EDF en Norvège ») et qui se voit inviter cette année par le musée d’art contemporain de Minsk ainsi que par un musée danois. New York, Munich et Sydney figurent également à son programme. « Cela décolle vraiment pour lui. J’ai décidé d’en profiter pour montrer ses dernières pièces ». Une série de toiles décline ainsi le motif de lignes horizontales serrées, composant une trame dense qui, au premier regard, donne l’illusion du monochrome. En dépit de son aspect mécanique, ce travail repose bel et bien sur une technique « à main levée » qui laisse pantois. Méditative et subtile, on ne s’étonne pas que la peinture de Strandh figure dans le fonds du Rothko Art Center de Daugavpils, ville natale de l’artiste américain en Lettonie. »  Merci pour cette mise en lumière.

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